-welcome in night city-

Night City ébranlée, laissée pour comptes, les miséreux sont toujours dans les bas de rue, les riches toujours dans leurs tours d’ivoires. Rien ne change vraiment à Night City ? Le dicton qu’une équipe qui gagne ne change pas devrait être mantra entre les murs de la Mairie. Les corporations se taisent, font profil bas, tentent de calmer le jeu au sein de leurs propres forteresses tandis que les chœurs protestataires commencent à battre leur plein, commencent à grouiller dans les ruelles. Coup d’état ? Guerre civile ? Cela ferait bien longtemps que la ville mériterait son retour de veste, si l’on en croit les voix des Moxes, plus bas sous terre. Les riches se battent pour la neutralité et un pacifisme qui laisse à entendre un consentement des choses qui s’y déroules. Les conformistes veillent à ce que les choses se déroulent selon les ordres plus haut, mènent et tirent la laisse. Et nous avons les rebelles, ceux qui commencent à s’insurger, ceux qui viendront semer le chaos à cette occasion rêvée qu’est l’installation et l’inauguration du memorial en l’honneur des victimes du séisme. Les corporations vont-elles enfin se mettre d’accord sur un désaccord commun, pour une trêve, pour une paix sociale ou… Au contraire, vont-elles se fondre dans le sang et la guerre pour qu’une énième guerre corporative éclate au nom des révolutionnaires ? Dans quel camp vous tiendrez vous, cette fois?